Valdemar RPG
Palais - Collegia => Espaces communs => Jardins => Discussion démarrée par: Fabuliste le 05 mai 2020, 18:20:44
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Vous avez remonté la ville de toute la vitesse de vos Compagnon ou de vos chevaux. Sur une si petite distance, la différence de vitesse entre les deux types de montures ne s'est pas trop fait sentir. Taver a prévenu que les ennemis étaient trois.
Vous entendez deux explosions, tres proches.
Devant vous s'est ouvert la porte du Collegium. Elle s'est refermée derrière vous. On compte sur vous pour éliminer la menace.
Juste après la porte, vous voyez trois hommes en noir, dont un monté sur un Compagnon avec une grise étrangement statique. Ils se séparent. Vous décidez d'attaquer l'homme du milieu. Il a l'air vicieux.
Il a 38 PV
Les lancés de dés sont légèrement modifié, merci de vous reporter au dernier post dans [Scénario] [Allister, Dyalwen et Kayann] là-haut, sur la colline.
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Mephisto était l’animal rêvé pour Fitz. Il l’amenait toujours où il devait aller, et sans jamais rechigner. Et aujourd’hui n’avait pas fait exception. Tristan lui avait expliqué durant le trajet succinctement ce qui arrivait. Collégium, attaqué, des gens en noirs. Ça suffisait à Fitz.
Arrivé à la porte, il sauta de l’animal en sueur, et lui flatta l’encolure. C’était leur signe l’animal partit plus loin, là où ils étaient à l’abris. Il lui avait appris très tôt. Je te flatte l’encolure tu pars. Il n’allait quand même pas amener son cheval à la mort.
Un homme à droite, déjà poursuivi, un homme à gauche, aussi en chasse. Restait à Fitz l’homme du milieu. Pourquoi on laissait toujours les vicieux à Fitz ?
- Ok. Toi, moi, ma hache. Ça me va.
Fitz se lança sur son assaillant, tête en avant pour le bousculer (10+1 avec un dès 10, -10pv ), l’homme se prit un capitaine lancé à pleine charge de plein fouet dans le plexus et se retrouva propulsé en arrière contre le pilier le plus proche.
Le sourire du Capitaine se fit presque plus vicieux que celui de son agresseur.
- Tu vas regretter d’être tombé sur moi.
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Beltran fut
jeté à terre déposé par son cousin chez les Guérisseurs. On réussit à lui enlever le carreau dans le mollet et il but une potion qui atténua la douleur. Il refusa plus - Guérisons gardées pour les vrais cas. Il se mit à courir...
Et passa juste à temps les portes du Collegium. On le connaissait bien, évidemment puisque c'était ses hommes. Il leur fit un signe de victoire et reprit sa course jusqu'à... Fitz. Et sa hache. D'un coup cela remonta le moral du Commandant. Il pouvait assurer avec son capitaine.
"Hej tu m'en laisses un peu quand même!" s'exclama Beltran, l'épée au clair, quand un des hommes en noir s'écrasa sur un pilier.
Immédiatement le Commandant menaça l'homme qui tentait de se relever. Il allait attaquer mais (6 avec 1D10 +2 +1) Beltran fit barrage avec son épée. Il tenta d'achever l'homme mais celui-ci était encore agile et il se prit uniquement l'épée dans l'épaule sectionnant un bout de bras - malheureusement pas la main droite.
"Tu veux jouer?" demanda Beltran avec un grand sourire sa quitter des yeux le larron devant lui et prenant compte de son environnement: les deux autres hommes et la Grise. Elle devait être la priorité. Il frissonna.
"Des hommes en noir, c'est eux qui ont enlevé ma fille. Ces batards..." grinça-t-il ensuite entre ses dents et en se précipitant vers son adversaire qu'il fit se déplacer de manière à être à portée de Fitz.
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Tristan avait oublié les joie de galopé avec une cote brisé... Ce n'était pas qu'il était douillet mais il savait pourquoi les combats n'avaient jamais été son truc... Mais l'adrénaline était le meilleur des remèdes et actuellement, ce n'était pas ce qui lui faisait défaut!
; ça va aller Eryk? Tu tiens le coup?
; oui ne t'en fait pas, tout ce que je risque c'est une infection si on ne désinfecte pas la plaie dans les jours qui viennent alors je compte sur vous pour régler ce bordel rapidement!
Tristan sourit et mit pied à terre près des deux hommes d'armes. Eryk resta avec eux malgré la désapprobation de son héraut. Lorsqu'ils arrivèrent dans le Collégium, Fitz et Beltran se jetèrent dans le combat contre le premier homme en noir. Tristan lui analysa la situation et vit tout de suite la jeune fille retenue sur son Compagnon, immobile...
"Quelque chose ne va pas, elle doit être victime d'un sortilège! " puis Tristan demanda à Eryk
; Est-ce que tu arrive communiquer avec son compagnon? Que ce passe-t-il?
Mais Tristan n'allait pas attendre la réponse sans aller porter main forte aux 2 capitaines même si, comparé à eux, il avait l'impression d'être ridiculement incompétent et juste bon à aiguiser leurs armes et apporter de la bière!
Il prit son épée et se joignit à la bataille, attaquant le même adversaire que ses alliés ( 3 sur 1D10 +2) mais l'ennemi esquiva de justesse le coup que Tristan tenta de lui porter. Le héraut reprit son équilibre et se tourna vers les 2 hommes d'armes. Il lui semblait avoir entendu que la Grise retenue était la fille du Commandant.
"Commandant, j'ai demandé à Eryk s'il pouvait prendre contact avec le compagnon de votre fille! Quelque chose ne va pas! Elle semble inconsciente..."
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Sans comprendre ce qu'il lui arrivait, l'homme en noir se retrouva projeté contre une colonne. Des années d'entraînement l'avaient rendu aussi souple et résistant qu'un chat. Il sentit le coup, mais parvint à rapidement ignorer la douleur. La respiration était la clef. Malheureusement, ce bref instant avait permis à un autre homme de lui entailler méchamment le bras; heureusement, l'épée n'avait fait que de lui arracher un bout de peau, peut-être un peu de muscle. Le dernier adversaire, clairement moins expérimenté, se contenta de secouer son épée dans sa direction, sans parvenir à faire autre chose que brasser de l'air.
Un bref coup d'œil lui apprit que le deuxième homme, un blond a l'air obtus, était déjà blessé. Il en fit sa cible. Il dégaina son poignard et d'un coup rapide, le lui planta dans l'épaule droite(1d10: 10). L'épée de l'homme tomba à terre. Parfait, ainsi, il ne pourrait plus se battre avec se bras avant longtemps.
L'homme en noir a 22 PV.
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Il fallut peu de temps pour que le soldat soit rejoint par deux compagnons. D’abord son expérimenté chef, et enfin le Héraut qu’il avait pu voir à l’œuvre sur les barricades.
Leur adressant un signe de tête entendu, il serra la prise sur sa hache. Il laisserait à Beltran le soin de dissiper le malentendu sur sa fille .
Par contre ce que disait Beltran le contrariait. Si Fitz avait le temps il tenterait bien d’en savoir plus, aidé par le petit coup de pouce de la déesse bien entendu.
S’il pouvait réussir à le capturer vivant cela l’arrangerait.
Cependant le temps qu’il réfléchisse, suffit à l’homme pour planter un poignard dans l’épaule de Beltran. Le sang de Fitz ne fit qu’un tour, il lança alors sa hache de toutes ses forces vers son adversaire (6 +1 sur 1D10, -7PV).
Dans les concours de lancer de tronc Fitz avait toujours été très doué. Et il le prouvait de nouveau. La hache vint frapper l’homme en pleine face, laissant voler du sang et quelques dents. Ce dernier sous la violence recula, certainement sonné par la violence du coup.
Fitz se rapprocha alors de Beltran.
- Beltran ! Ca va ?
Pourvu que cette raclure n’est pas empoisonné sa dague.
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[L'attaque de Fitz laisse le temps à Beltran de s’éloigner du combat et offre a Tristan un bonus de +1 s'il touche (score>5)]
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Beltran n'eut guère le temps de s'inquiéter de son image d'homme célibataire avec non pas une mais deux filles hors mariage.
"C'est pas ma fille" hurla-t-il à Tristan. "C'est une Héraut. Avec tes Dons tu peux peut-être la choquer un peu?" demanda-t-il avant de hurler.
Un poignard dans l'épaule venait de lui enlever tout vélléités de discussion. Son arme était à terre et son adversaire semblait un peu trop satisfait au goût de Beltran.
Le commandant se dépécha de repreendre son épée, de sa main valide. Oh il était assez agile pour l'utiliser efficacement mais la douleur de ses deux blessures commençait à faire beaucoup. Il s'éloigna du combat quelques minutes pour reprendre son souffle et analyser la situation. L'habile Fitz semblait bien gérer, le Héraut un peu moins, quant à lui.. Haut les coeurs, il fallait y retourner. A ce moment Fitz se dégagea du combat pour prendre des nouvelles de Beltran.
"Mollet et épaule.... Je vais utiliser ma main gauche dès que j'aurais fait un garrot. Ensuite tu les abîmes et je les achève. C'est pas aujourd'hui qu'on va me voir abandonner mes compagnons."
Beltran posa son arme à terre et arracha sa manche IL en fit rapidement un bandage à l'épaule, puis récupéra son épée pour de bon. il en profita pour regarder la situation plus loin. Cela le convainquit qu'il fallait absolument gagner rapidement. Il vint se mettre à quelques mètres derrière Fitz en espérant qu'il lui envoie un adversaire déjà bien amoché.
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Une hache.
Une hache en pleine face, ça faisait mal, très mal. Même quand on avait un bouclier cinétique efficace. Celui-ci ralentit assez la lame pour éviter qu'elle ne découpe le visage de l'homme en noir. Mais pas assez pour ne pas l'étourdir quelques secondes. Heureusement, les peigne-culs face a lui n'en profitèrent pas.
Non, l'ordure n'avait pas empoisonné sa dague. Il aurait dû. Dommage. Mais le capitaine semblait bien amoché. Partisan de ne pas lâcher une proie, l'homme en noir décocha un éclair vers le père de Liane. L'éclair passerait juste à côté de Fitz avant d'atteindre son supérieur. Le Glaive pourrait-il réagir?
[Fitz, en plus de ton jet d'attaque, tu as un jet de défense. Tu te sens inspiré. Comme si la déesse te caressait la main. Tu le sais, tu le sens, tu peux dévier l'éclair de ta main marquée. Tu lances un dé. Si tu fais 6 ou plus, tu dévies l'attaque. Si tu fais 10 tu la lui renvoies en pleine face.
Beltran, si Fitz échoue, tu fais un jet d'esquive. Vu ton état, il est difficile. Soit tu fait 9 ou plus, soit tu es hors combat pour la fin du scénar. (Et très gravement blessé.) Si tu survit, tu peux attaquer, mais tu n'as plus ton bonus (le handicap de te battre du bras gauche compense tes 20 expérience). Tu appliques juste le dé ^^]
L'homme en noir a 15 PV.
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La hache de Fitz avait été plus efficace par le passé. Mais qu’à cela ne tienne, il la rendrait plus efficace la prochaine fois.
Par contre, l’état de son chef inquiétait particulièrement Fitz. Il fallait qu’ils en finissent. Se retournant pour faire face à leur opposant, juste à temps pour le voir lancer un sort.
Un sort ? Il lui fallut plus de temps qu’il n’osa l’admettre pour se rendre compte que c’était normalement, maintenant, sa spécialité.
D’ailleurs il s’en rendit compte, sûrement à cause du picotement dans sa main, cette démangeaison qui remontait le long de son bras, cette envie irrépressible de faire quelque chose, et surtout cette certitude que cette fois il n’était pas seul. On le guidait, on guidait sa main, quelqu’un. Elle ? Peut-être. Dans tous les cas, il fallait qu’il essaye, sans ça, il sentait bien que le Capitaine se ferait cramer les fesses pour une deuxième fois, même si la première lui avait apporté Mina, ca restait un mauvais souvenir, et il en restait encore pas mal de chansons et blagues.
(5+1 sur 1D10 ) L’éclair frôla la main de Fitz, et dévia sa trajectoire pour aller s’écraser sur un des piliers. Et vu le bruit, s’il avait atteint sa cible, Beltran n’aurait plus vraiment eu une gueule de porte bonheur.
Bien maintenant qu’ils en avaient fini avec les amabilités, il était peut-être temps de reprendre ce pour quoi ils étaient venus.
Se foutre sur la tronche.
Fitz fonça en avant, ramassant sa hache au passage, il courut droit sur l’homme en noir, en laissant traîner la lame sur le sol, une fois à portée de l’arme, il la releva d’un coup sec vers lui, (1+10 sur 1D10) la lame fendit l’air en deux, l’axe était parfait, s’il évitait ça, l’homme n’était pas homme. Y’en a qui avait fini avec 2 maris à la place d'un, suite à un coup pareil de notre bourrin armé.
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L'homme était homme. Et il se prit la hache en pleine tronche.
L'homme en noir a 4 PV.
Maiiiiiiiiiiiiiis. Il n'était pas mort. Son cerveau, si, quand même, y avait une hache au milieu. Ça marchait vachement moins bien, un cerveau avec une hache au milieu.
Maiiiiiiiiiiiiiis. Mais l'homme était aussi magicien. Et la magie, ça ne réside pas seulement dans le cerveau. Ça réside dans le coeur, dans les tripes, dans les mains, dans les jambes. La magie habite un mage et fait sien tout son être. Et quand un mage agressif perd le contrôle de sa magie, par exemple pour cause de cerveau coupé en tranches, ben ça peut faire des dégâts.
Le corps de l'homme s'effondra, mais il commença aussi à bouillonner, baver, écumer. Des bulles de lumière à la fois noirâtres et rougeâtres commencèrent à s'accumuler sur ce qui n'était malheureusement pas encore un cadavre. Face au dégout des combattants, elles fusionnèrent pour former une vague silhouette, grotesque caricature d'une silhouette humaine. La chose leva les brases les jeta vers Fitz et Beltran. Des bulles se détachèrent des bras pour éclabousser les deux hommes, les brulant salement.
Une voit résonne dans vos têtes.
L'homme n'est pas mort. Sa mort détruira la chose.
La voix est la même que lors de ce feu de camp, des années auparavant. Elle.
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Beltran bouilllait de rage - et de douleur. Il avait l'impression d'être complètement inutile car le voilà qui dépendait de Fitz et de sa hache pour survivre. Quand il apparut que l'homme en noir était en plus un sorcier; c'est une vague de désespoir qui l'emplit soudainement. Entre son mollet et son bras, même une esquive s'avérait presque impossible: il allait tomber et être une cible encore plus facile à atteindre. Heureusement qu'il avait avec lui le meilleur de ses capitaines. Beltran put admirer la maitrise de la hache de son ami... et se rendit compte avec horreur que l'homme en noir n'était pas mort. Pas mort! Avec le cerveau en deux parties égales! Quel monstre était-ce là? L'horreur de la magie du Commandant augmenta d'un cran.
"NON!" hurla Beltran quand la magie noire l'atteignit.
La brûlure en plus des autres blessures faillit lui faire lâcher son arme qui, pour le moment, se balançait au bout de son bras valide. Puis subitement il y eut La Voix. Celle que même avec ses barrières mentales au plus haut, il entendait tout de même. Tuer une deuxième fois l'homme. Beltran ragea: il allait devoir laisser Fitz s'en occuper. Mais Beltran était têtu: il releva son arme, serra des dents, et interpella Fitz:
"A toi l'honneur. Tu me jettes des petits bouts et on s'en débarrasse comme ça?"
Il fallait qu'il arrive à suivre le rythme.Après, promis il ne râlerait pas contre un Guérisseur.
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Un homme, 2 parties, ça marchait toujours nettement moins bien comme ça. Au moins ils n’avaient plus à s’en soucier.
Du moins c’est ce qu’il pensait.
Sa main sembla s’embraser à la « semi mort » de leur opposant, la magie s’échappait par tous les espaces que Fitz avait ouverts en lui. Et il y’en a avait pas mal.
Des trucs assez ignobles, il faut bien le dire, jaillir de l’entité, l’atteignant lui et Beltran, et le brûlant au passage. Ce n’était pas très beau à voir, quelques marques en plus sûrement dans les jours à venir.
Et puis il y eut une voix. Cette voix. Sa voix ? Détruire la chose ? Détruire ça ? Merci du conseil ! M'enfin de toute façon c'était à peu près la seule chose qu'il essayait de faire depuis le début !
Son crâne résonnait, sa main le brûlait, son visage aussi à cause de ces foutus éclaboussures de liquide non identifiés (faites que ce ne soit pas du fluide humain), et pour être honnête, tout cela commençait à taper méchamment sur le système du Capitaine.
Des flèches, il savait gérer. Des lances il en avait pris une ou deux dans les flancs, ça ne faisait jamais de mal, ça formait la jeunesse. Même une épée dans les côtes ça ne le dérangeait pas. Mais un truc noirâtre qui lui dégueulait dessus en plein combat non ça en était trop.
- A vos ordres chef !
Hurla-t-il à Beltran.
De sa main marquée il dégaina son poignard. Si ce n’était pas le crâne qui animait l’homme, alors c’est qu’il devait agir avec autre chose. Et même si on disait souvent que les hommes pensaient avec leurs attributs, il était à peu de chose près persuadé que le cœur était souvent plus important.
Il planta son poignard droit devant lui, espérant atteindre ce qu’il espérait être le cœur de la monstruosité (2+1 sur 1D10) mais visiblement sans grand résultat.
Il fit donc la seule chose qui lui semblait logique, dans cette position, il ne pouvait pas ré attaquer, trop proche, trop exposé, il se mit donc en en opposition à son capitaine, se planter face à la créature pour qu’elle ne voit que lui, et éviter ainsi que Beltran ne fut sa prochaine cible. Si quelqu’un devait prendre un coup ce serait lui, il pourrait encaisser, il était encore solide.
Par contre si une certaine personne apprenait ça, il risquait bien d'avoir une scène bien pire que ce foutu truc non défini !
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Wylan, s'il était a l'écoute, ce qui était peu probable, put peut être sentir les derniers râles de pensées de l'homme en noir. Ce qui n'empêcha pas sa magie de continuer à faire des trucs bizarres. Avec la mort de son hôte, elle avait perdu sa forme légèrement humaine, pour n'être plus qu'un vague cylindre. Il se pencha vers Beltran, éclopé et souffreteux, puis vers Fitz, agressif et agile. La menace était clairement de son côté.
Vivement, la chose se tendit vers Fitz (1D10: 6). Celui-ci eut un mouvement de recul et ne fut touché qu'au bras droit. Heureusement, il était gaucher. Malheureusement, toute la surface en contact avec la magie fut brulée.
La chose n'était que très peu intelligente. Elle ne s'était pas rendu compte qu'elle avait laissé le torse de son hôte a découvert, non loin de Beltran.
[On inverse les tours de jeux, je veux Beltran en premier! Tu as une ouverture, le corps est à découvert, fait en un cadavre. C'est un mouvement facile, tu le réussis si tu fais 4 ou plus. Sinon Fitz, a toi de jouer!]
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Fitz se mit entre Beltran et la créature. Cette chose représentait parfaitement l'horreur de la Magie aux yeux du Commandant. FItz dut reculer et se fit toucher par la magie noire. La chose ne semblait pas se comporter de manière cohérente. Encore heureux, ne put s'empêcher de penser Beltran en essayant d'oublier la douleur grandissante de ses blessures. Il risquait de craquer bientôt. Mais certes pas avant d'être venu à bout de la créature!
( 9 avec 1D10) Beltran vit une ouverture. Il s'écarta de Fitz qui le protégeait toujours de la chose, et réempoigna son épée de son bras valide. Il ferma les yeux une seconde, priant la Déesse (oui, Beltran priait) de pouvoir se débarrasser du machin embêtant qui l'empêchait de s'effondrer. Alors il leva l'épée... et la plongea dans le cadavre humain. A peu près où se trouvait le coeur s'il en avait encore un. Beltran resouleva son épée et la planta dans le ventre du cadavre. Juste au cas où.
Puis, l'air hagard, il regarda où en était Fitz avec la créature des Enfers.
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En une seconde et sans un bruit, la créature fondit et s'insinua dans le sol, le contaminant de son immonde magie de sang. Et il n'y avait plus que le cadavre et les deux hommes.
[Félicitation, vous avez vaincu le premier homme en noir. Vous pouvez aller vous faire soigner ou rejoindre un des deux autres combats.]
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L’attaque, un mouvement de recul, trop lent, un peu trop lent. Le bras droit. Ca pique. Ca pique méchamment.
- Mais nom d’un dieu de nom d’un dieu ! Sans rire ils les font avec quoi leurs bestioles !
Hurla le capitaine. Son bras le brûlait, une autre attaque comme ça, et il finirait vite fait en engrais à pissenlits. Et Fitz détestait les pissenlits.
Heureusement la créature sans son cerveau semblait avoir la même capacité de réflexion qu’une pierre en plein soleil. Et exposa bien en avant son torse.
Beltran n’en attendit pas plus pour attaquer. Et miracle cela fonctionna ! Ou du moins cela sembla fonctionner… En espérant qu’une autre surprise ne les attende pas au détour.
Le capitaine se retourna pour regarder Beltran, et celui-ci semblait vraiment, mais alors vraiment pas en forme. Sur une échelle de 1 à 10, bha Fitz l’aurait sûrement fait descendre de l’échelle car vu sa tête il serait tombé.
- Beltran tu dois te faire soigner, tout de suite. Tu ne pourras pas encaisser un coup en plus.
Le mercenaire en ramassant sa hache sembla hésiter.
- Tu pourras rejoindre les guérisseur seuls ? Ou tu veux que je t’accompagne ? Nos alliés sont vaillants, mais vu ce qu’on a affronté… Et la difficulté qu’il nous a donné à nous deux…
Il était prêt à en découdre, maintenant il savait à quoi s’attendre. Mais il craignait aussi que Beltran n’arrive pas entier jusqu’au soigneur le plus proche !
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Fitz semblait d'humeur à jurer, comme son Commandant préféré. Il s'en tirait pas mal si on considérait qu'il avait encore deux bras qui fonctionnaient... Beltran en aurait été jaloux s'il n'avait pas ses propres préoccupations. Il réussit à débarrasser Valdemar d'un monstre en noir. Ca valait une récompense. Comme recoller un bras. La technique très simple d'abattre un déjà-cadavre fonctionna... Beltran vit la magie noire s'infiltrer dans le sol et il frissonna. Heureusement qu'ils en avaient fini ici. Un coup d'oeil alentour lui confirma que malheureusement la bataille n'était pas finie.
Mais Fitz intervint, après avoir regardé le Commandant de haut en bas. Il avait raison, évidemment. il fallait se faire soigner. Mais la main sur l'épée ne faiblit pas. Il pouvait.... NOn, il ne pouvait pas: le pas qu'il voulut faire en avant le laissa à genoux... Fitz s'inquiétait de son état, ce qui semblait normal.
"On l'a eu cette saleté." grimaça Beltran en tentant de se relever. "Mais je crois que je vais avoir besoin d'aide. Ce carreau dans le mollet n'est pas fait pour que je marche aussi loin..."
Il hésita:
"Vu l'angle de tir, je dirais que ça vient de Mina. Tu crois qu'elle m'en veut à ce point?"
Et il s'en inquiétait vraiment, "oubliant" qu'une Héraut ne pouvait être aussi mesquine. Cependant il s'inquiétait pour elle. Il espérait ne pas la trouver dans la tente des guérisseurs...