Lamétoile senti la caresse mentale de son Lié, ils n'avaient guère eu le temps de véritablement profiter de leur présence et cette promenade était comme un second souffle pour la demi tayledra. Une souffle qu'elle n'avait pas eu conscience de retenir depuis la mort de sa mère. Trop d'événements était arrivé trop rapprocher. La rencontre avec David avait ouvert une partie de son cœur qu'elle avait fermer dans son enfance quand sa mère lui avait fait comprendre, doucement, mais fermement, que le passé était le passé et qu'elle n'en parlerait pas. Elle se sentait vraiment libre de ses choix à cet instant. Elle ignorait de quoi le lendemain serait fait, elle ignorait si cette femme lui plairait et si elle lui plairait. Mais sous le ciel gris, la brise fraiche et une chevaucher seule avec Etyan, elle se sentait en paix. Il y avait une liberté qu'elle n'avait jamais connu à faire ses propres choix et à les assumer.
Mais il y avait aussi une certaine tristesse de n'avait jamais connu son père, quoi qu'elle en dise à son parrain. Elle ne savait pas encore comment prendre l'affection de l'homme, elle ne savait que faire de ses regards et ne comprenait pas son sentiment, pourtant normal, d'espoir envers lui, se sentiments de vouloir le rendre fier d'elle, celui de vouloir connaître sa grand-mère, lui dire son existence et lui montrer qui elle était, que son père avait laisser une germe de lui en se monde. Elle n'avait jamais ressenti aussi pleinement que depuis la mort de sa mère et parfois, comme en cet instant, elle sentait une pointe de douleur pour tout ce qu'elle vivait alors que sa mère était morte. Tout sa vie, ses sentiments avait comme été absent, amoindri derrière une barrière qu'elle n'avait jamais eu le sentiments d'avoir et elle avait parfois de la difficulté à les gérer. Elle n'aurait jamais cru pouvoir avoir une vie si rempli, autant de liens. Elle qui n'avait jamais rien eu à perdre pouvait perdre tant et pourtant, c'était maintenant qu'elle se sentait le plus désireuse de se battre, elle avait maintenant cette rage de protégé qu'elle dénigrait chez les soldats régulier avec lesquelles sa mère, et elle ensuite, avait eu à travailler.
Et cela la faisait se sentir libre, ouverte, ouverte au autres et à se monde.
Le temps passa en silence, sans qu'elle ne s'en rendent compte, occuper à profiter du moment, de se moment trop rare de liberté. Vient le temps de camper, qu'ils passèrent en silence à profiter l'un de l'autre, renforçant leur lien. Elle aima se silence, cette solitude, qui lui avait manquer plus qu'elle ne l'aurait cru. Elle fini par s'endormir contre le cervidé.
Avec le matin vint la nervosité. Elle savait en parti ce qu'elle dirait à la femme, mais sa réaction lui restait un mystère complet. Comment dire se genre de chose à une femme à qui la vie a déjà tellement prit, mais comment ne pas le lui dire, comment ne pas lui rendre au moins un peu de bonheur? Le chemin se fit en silence, mais un silence bien différent de celui de la veille. Ils finirent par arrivé dans un village qui correspondait au description de David, à la sorti de celui-ci le sol se fit plus rocailleux, en même temps que la nervosité de la Lieutenant. Elle ferma les yeux une minutes pour se ressaisir, se donnant une claque mentale. Elle n'était plus un bébé pour vouloir plaire à tout prix, cette femme avait tant vécu, elle n'avait pas besoin d'une petite-fille sentimentale! Elle était Lieutenant de la garde, pas une pleurnicharde! Elle prit une grande respiration et se senti mieux. Quoi qu'il advienne, elle aurait suivit son chemin jusqu'au bout, sans regret. Elle ferait face, pour son père qu'elle n'avait jamais connu et pour cette femme qui méritait un peu de soleil dans sa vie.
Elle observa attentivement les alentours, la maison semblait ancienne, mais bien entretenu, une petite cabane de pierre des champs, un foyer simple qui en disait long sur la femme qui y habitait. Une femme simple, sans fioriture, elle semblait à ce que Lame aurait pu imaginer de sa mère dans sa vieillesse et cela fini de défaire une grosse parti de la boule dans sa poitrine.
Elle observa en silence la femme qui étendait son linge, avant de descendre lentement de son compagnon et de mettre une main sur son cou, histoire de montrer à la femme, quand elle se retournerait, qu'il n'y avait aucun danger.
"Excusez-moi madame."
L'ancienne mercenaire avait parler d'une voix douce, pour ne pas faire sursauter trop la dame et pour ne pas l'effrayer.
"Je suis vraiment désoler de vous déranger, mais je cherche une certaine Kaithlyn, qui as été mage à Haven."
Il y avait de la vrai douceur dans sa voix, mais aussi une certaine sureté, qu'elle ne ressentait pas totalement, mais qu'elle savait feindre. Elle ne voulait pas effrayer la dame, mais pas non plus lui donner une raison de la renvoyer sans qu'elle ait pu trouver qui elle cherchait. Elle avait donc fait de son mieux pour dosé sa douceur et sa volonté.