Lamétoile venait de terminer une journée particulièrement stressante. Encore une fois, certain n’acceptait tout simplement pas qu’elle ait obtenu le grade de Lieutenant alors qu’elle n’était même pas du pays. Aucun d’eux ne s’était plus renseignez que les rumeurs qui courrait sur elle, rumeur plus loufoque les unes que les autres et elle avait eu de la difficulté à terminer sa journée sans vouloir donner une bonne leçon à au moins un ou deux garde moins tolérant que les autres. Seule la présence d’Etyan dans son esprit et son calme lui avait prit de rester impassible. Elle était doué pour les armes et aurait pu mettre chacun d’eux au tapis, mais elle savait que cela n’aurait rien régler, elle avait donc prit don visage le plus dur et fermer, impassible, et surveillez la garde sans jamais réagir au provocation de moins en moins subtile de ses subordonnée.
Enfin libéré de ses obligation, elle s’était diriger vers le champs des compagnons pour faire une promenade avec Etyan, elle avait besoin de laisser sortir la vapeur et seul des katas au armes avait cette effets libérateur qu’une bonne chevaucher sur le dos du cervidé qui lui était maintenant plus proche que même sa mère ne l’avait jamais été.
Elle monta son lié à cru, parti pour un tour du champ digne des Héraut les plus doué, bondissant, filant, autour du champ, libérant son esprit jusqu’à l’épuisement, fusionnant presque avec son lié comme ses cousins pouvait le faire avec leur oiseau lige, pour se libéré de tout ce qui la tracassait dernièrement, sachant qu’elle partirait bientôt en campagne et n’aurait plus Beltran proche pour dissuader les gardes de lui mener la vie dure
Inconsciente qu’elle était observer, elle se laissa aller complètement dans la course, flèche d’or et de bleu, utilisant les installations des cours des jeunes Hérauts pour se libéré l’esprit complètement et s’épuiser. Plus la date de départ approchait, plus elle se sentait fébrile, nerveuse, plus elle voyait ses défaut plutôt que ses forces, redoutant d’échouer encore. Revoyant la mort d’Elya et celle de sa mère.
Vêtu comme une garde, montant à cru une créature que plusieurs avait cru mythique avant qu’elle ne les guide en ville, elle avait tout d’une apparition, ses long cheveux noir détacher par la course courrait derrière elle, sa peau plus doré que celle des habitants, l’éclat métallique de ses armes. Puis, soudain, elle arrêta la course, allaitante, replaçant avec difficulté ses cheveux noirs qui avait collé à son visage dans son dos. Ses yeux gris perçant, la seule chose qu’elle tenait vraiment de son père, se promenant doucement sur le champ, son corps svelte luisant de sueur après une telle débauche d’énergie, son visage au trait si exotique détendu par la course.