Le sourire du prince élargie celui doux et rempli de compassion de la princesse. Comme il serait facile de se perdre dans les bras de cette homme et d'oublier le monde. mais la princesse savait que ce ne serait jamais qu'un rêve, quoi qu'il advienne. Elle ne pourrait jamais cesser d'être une princesse, né pour épouser un homme de pouvoir et élevé pour être en mesure de le seconder. Les jeux de la séduction n'était en fin de compte que des jeux fait pour ne pas sombrer dans la folie que le devoir et les mariages de convention pouvait induire. La princesse savait qu'elle ne pourrait jamais s’abandonner, ni même s'oublier et encore moins oublié son père. Un fugace instant, elle eu envie de renvoyez le prince pour le protéger de son père, mais il pouvait être sa liberté, du moins en partie, loin de son père, même si cela devait aussi être loin de son oncle qu'elle aimait tant. Pourtant, elle ne fit pas un geste, ni ne dit un mots pour le renvoyez, cela lui ferait du mal, elle le voyait dans ses yeux, et pourrait rendre les choses beaucoup trop difficile pour les temps à venir. Elle se contenta donc de le regarder.
Elle sourie encore plus à la tirade du prince, un sourire quelque peu triste.
"Quoi qu'il arrive Prince, je me souviendrai de cela et quel que soit ma décision, celle du cœur et du devoir, sachez que je n'en aimerai pas moins, et que je ne nous refuserai pas moins l'amitié si l'amour est impossible. J'aime se monde, prince, et si ce n'est par amour pour vous, se sera par amour pour lui, mais se sera par amour, que je vous épouserai ou que j'en épouserai un autre, car je suis Reine de cour d'amour et nous faisons toujours les choses par amour, quel que soit cet amour. J'ai beaucoup de respect pour vous, plus encore par se geste et cette promesse. Soyez mon ami, et peut-être un jour l'amour en naitra-t-il."
Elle lui sourit tendrement encore. L'amitié était tout ce qu'elle avait toujours attendu et espéré dans le mariage, elle n'avait jamais cru, n'avait jamais eu l'illusion qu'il lui serait possible de se marié par amour comme dans les contes. Elle connaissait la réalité et elle voulait de tout son coeur aider son peuple, aider se monde qu'elle chérissait tant et cela était suffisant pour se marié même avec un homme qui ne savait aimer, alors avec un prince qui faisait montre de tant de courtoisie et de délicatesse, elle savait qu'elle pourrait, sinon aimé, respecter cette homme de tout son cœur.
Elle jetta un très léger regard d'avertissement à sa suivante pour cette incartade, elle n'acceptait se genre de ricanement de personne dans son entourage, fut-ce une personne imposer par son père et reporta son attention sur le prince quand celui-ci lui baisa la main et elle se releva en même temps que lui, se permettant la familiarité légère de lui mettre une main sur le bras pour lui garder son attention une seconde de plus.
"Alors je sais que quoi qu'il arrive, je ne saurais être plus en sécurité."
Puis elle le laissa partir pour terminer de se préparer.